danse | théâtre | création |
Olivier de Sagazan livre une performance à la frontière de la science et de l’art autour de la course et de sa mémoire, associée à la respiration et au rythme qu’elle engendre dans notre corps.
Au plateau, un homme debout dans un tube à essai de 2 mètres de haut. Il court.
Son corps est connecté à de nombreux capteurs qui transcrivent sur un écran son état physiologique. Sa respiration croissante, les bruits de son corps et sa voix sont repris par 3 artistes sonores qui les spatialisent et les façonnent en direct. Un vidéaste et un technicien lumière interagissent aussi avec le performeur.
Des mots sortent de sa bouche. Sa langue trébuche, son alphabet se désarticule. La folie et la transe prennent le dessus quand le sujet commence à s’interroger sur l’origine de ces mots. Se manifeste alors une étrange alchimie révélant peu à peu une intrication du corps avec le cosmos. Olivier de Sagazan renoue avec ses origines de biologiste et nous conduit vers l’exploration nouvelle du corps et de ses multiples connexions.
Performance et conception : Olivier de Sagazan
Régisseuse générale : Titia Marie
Musiciens : Pierre Chéguillaume et Alexis Delong
Spatialisation du son : Rodrigue de Sa
Vidéo : Guillaume Ménard
Lumière : Antoine Desprez
Texte voix off : Renaud Barbaras
Production : Ipsul
Production déléguée : CDN Normandie
Coproduction : Scène nationale de Saint-Nazaire, Le Quai d’Angers, Le Tangram Scène Nationale d’Evreux, La Soufflerie Rezé, Les Brigittines de Bruxelles, Les Marches de l’été Bordeaux
Coproduction : Scène nationale de Saint-Nazaire, Le Quai d’Angers, Le Tangram Scène Nationale d’Evreux, La Soufflerie Rezé, Les Brigittines de Bruxelles, Les Marches de l’été Bordeaux
Critique : Magazine Inferno
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