théâtre | 03 avril
Acteur magnifique et incontrôlable, aussi fou que sage, Dewaere est un monstre sacré du cinéma français. Mais à quel prix ? Quelle est la frontière entre l’art et la vie ?
Il incarnait une « fureur de vivre » à la française. Ses coups de gueule envers la profession et les journalistes, ses amours romanesques fulgurantes et contrariées, la drogue, son besoin de défendre des personnages de looser, et sa mort sanglante…
Les Valseuses, Série Noire, La Meilleure façon de marcher… Patrick Dewaere est incontestablement une des plus grandes figures du cinéma français. Et son investissement total, devant la caméra ou éloigné des plateaux de cinéma, sa complexité, ses excès, sa palette de jeu presque infinie ont fait de lui cet acteur beau et terrifiant à la fois. Telle une danse de funambule schizophrène.
Surexpositions, c’est l’histoire d’un acteur. Mais avant tout, c’est une pièce qui parle de ces glissements, des échos et des écarts entre l’art et la vie… Comment l’un nourrit, ou empoisonne, l’autre ?
Etienne Arnaud Régie son
Émilie Beauvais Dramaturgie
Clément Breton Régie générale
Clément Dubois Scénographie
Marie-Frédérique Fillion Création costumes
Nicolas Galland Création lumières
Benjamin Gibert Musique
Cécile Kretschmar Coiffure
Jérôme Pellerin Graphisme
Texte de Marion Aubert Dramaturgie (publié chez Actes Sud-Papiers)
Julien Rocha Dramaturgie
Avec le soutien
La Compagnie Le Souffleur de Verre est conventionnée avec
Elle est soutenue pour ce projet par
Durée : 1h50
Déconseillé aux moins de 16 ans